Extraits de presse :
Ballet
Magazine - (lire l'article complet)
(...) And finally there were his facial expressions
and gestures… in effect, his body parts seemed to
be conversing with one another, all the while Mishra himself
was in constant verbal dialogue with the live musicians.
This was one co-ordinated individual, who succeeded in capturing
the audience with his superb dancing abilities and strong
stage presence.
(...) Like a charging bull she raced onto the scene from
stage left, with arms held powerfully behind her arching
torso, and her long hair flowing. Her energy and vibrancy
filled the stage and the flamenco accompanists complemented
her first solos with a beauty unparalleled.
(...) There is much to learn and enjoy about professional
dance performances such as this; they give us a glimpse
into the illusory performing arts world, and for a brief
moment we leave reality behind in the theatre foyer.
Rachael Jefferson-Buchanan - septembre 2002
Le mariage
torride de l'Inde et de l'Andalousie - Dialogue harmonieux
et explosif
(...) Dès les premières
secondes du spectacle, la rencontre est fulgurante entre Ravi
Shankar Mishra, l'un des meilleurs interprètes actuels
de kathak, et la brûlante flamenca Ana la China. Comme
si les Dieux de la cité de Bénarès étaient
accourus à l'appel déchirant de la terre andalouse.
(...) En effet, dès qu'il virevolte sur scène,
Ravi ne semble plus de ce monde. Le contraste n'en est que
plus explosif quand la belle gitane, d'une sensualité
violente, se plante devant lui, le regard effronté.
(...) Tout aussi extraordinaire que le jeu des danseurs, la
performance des musiciens gitans et indiens. Les doigts de
Paul Grant, l'un des rares occidentaux à maîtriser
ces répertoires, glissent sur les cordes du santur
et ses mélodies partent à la rencontre du jeu
tout en sobriété du guitariste Domingo de Los
Santos. De leur côté, Luis de la Tota, l'un de
percussionnistes les plus appréciés du monde
flamenco et le maître du tabla de Bénarès,
Shyam Kumar Mishra, parviennent à trouver une complicité
tout en restant fidèles à leurs propres rythmes.(...)
Carole Vann - Infosud- Le Temps, Genève 1999
True Multicultural
Performance - Kathak and Flamenco
The audience came out wiht a fulfilment
of fabulous harmony of two cultures at the Cité Bleue.
A superb performance of Indian and Spanish dance and music.
(...) Both the dancers and musicians excelled each other in
the true spirit of inter-cultural harmony in music and dance.
(...) It was such a balance approach so befitting to the international
spirit of Geneva.(...)
Geneva News , december 1998
De Bénarès
à Jerez
"Puro", joyau non taillé
par les académismes de salon, le flamenco d'Ana la
China respire la tradition de Jerez, cette façon brute
et festive de vivre une culture au présent. Virtuose,
improvisée sur des trames rythmiques impossibles, la
danse kathak de Ravi Shankar Mishra pirouette entre symbolique
religieuse et séduction ludique.
(...) Il ne s'agit point là de fusion, ce mot aux relents
de laboratoire, mais bel et bien d'un dialogue. Où
deux artistes, accompagnés de leurs troupes respectives,
effectuent un bout de chemin de concert. Vivement recommandé.
Thierry Sartoretti. L'Hebdo - 26 nov. 1998
Téléjournal
Une femme Ana, un homme Ravi
Shankar. Le lien qui les rassemble est gitan. Car c'est une
certitude aujourd'hui, les Gitans sont venus de l'Inde, et
c'est au XVe siècle qu'ils se sont installés
en Espagne. De là à laisser courir son imagination
et de rêver que de l'Inde est né le flamenco,
il n'y a qu'un pas.
(...) Mêmes si ces ressemblances sont fortuites, les
points de comparaison ne manquent pas, et si cette influence
n'est pas prouvée, peu importe. Deux danseurs sont
là sur scène pour nous donner un peu de leur
magie. Car en les regardant il est impossible de nier que
l'alchimie est opérante entre le Kathak et le Flamenco,
où le jeu des questions et des réponses se répète
à l'infini, comme pour ne jamais donner de réponses.
Télévision Suisse Romande-Sandy Evangelista,
25.11.1998
Danse indienne
et flamenco : pur nirvana. Un moment rare partagé par
une salle comble
(...) Ainsi que le torero joue sa
vie dans l'arène, c'est comme si ces deux-là,
avec leurs danses si dissemblables et pourtant si proches,
jouaient la leur.
(...) Nostalgie et jubilation mêlées. Ana la
China et Ravi Shankar Mishra ont relevé le défi,
mettant en évidence un langage commun tout en ne trahissant
pas leur art. Cet art qu'ils ont d'ailleurs servi aussi séparément,
l'un après l'autre. Et de quelle manière ! (...)
B. Guyomar - Le Courrier de l'Ouest - juin 1998
Le Flamenco
a dansé avec le Kathak
Porté par d'âpres mélopées,
le " duende ", l'esprit de la danse a soufflé sur cette
soirée pour ainsi dire familiale. Issus du même
berceau continental, les peuples indiens et gitans sont des
lointains cousins, et leurs retrouvailles ont été
orchestrées au théâtre d'Angers par le
talent de deux artistes qui ont au fond, plein de choses en
commun.
(...) La jeune danseuse et son homologue indien y avaient
établi une connivence proche de ce " seuil lumineux
de l'amitié " dont parle Saint-Augustin. Ensemble ils
sont parvenus à recréer une expression artistique
symbiotique, qui s'enrichit de ses propres différences.(...)
Ouest France, juin 1998
Retour
|