|  
                  
                  
                  
                  
                     
                   
                    
                    INFORMATIONS PRATIQUES 
                     Prix des places : 30.- FS 
                      Membres Ateliers, AMR & Amdathtra, Amis du Musée 
                      d’ethnographie, chômeurs, AVS : 22.- FS  
                      Etudiants, jeunes : 15.- FS; Enfants jusqu’à 
                      12 ans, cartes 20 ans/20 francs: 12.- FS 
                    Passe général : 
                      70.- FS (plein tarif) / 50.- FS (membres…) / 40.- 
                      FS (étudiants…)  
                    Film : 8.- / 5.- FS 
                    Conférence : entrée 
                      libre 
                    Location : Service Culturel 
                      Migros, 7 rue du Prince, Genève (lu-ve, 10h-18h), 
                      dès le 23 avril 
                    Réservations : uniquement 
                      sur le site 
                    Photos © : Juan-Carlos 
                      Hernández (María de la Paz & Libertango) 
                      ; Fruitmarket Kultur + Medien GmbH (photos conférence 
                      et films) d.r. (autres)  
                    Dès 19h, petite restauration 
                      et repas chauds (spécialités argentines), 
                      uniquement sur réservation (au plus tard 24h à 
                      l’avance au 078 601 62 31)  
                      
                   
                  Jeudi 10 mai, 20h30 
                  Première partie : César 
                    Stroscio & Línea 13 
                    Seconde partie : Narciso Saúl  
                  
                     
                        | 
                      César Stroscio 
                          & Línea 13 
                        César Stroscio 
                          : bandonéon 
                          Jean-Baptiste Henry : bandonéon 
                          Pascal Burges : guitare 
                          Pablo Szapiro : clarinette basse 
                        Extraits audio : 
                          Línea 13   | 
                     
                   
                  Línea 13, c'est un voyage musical entre Paris et Buenos-Aires 
                    mené par trois amis d'origines diverses qui, à 
                    travers le mélange des couleurs du bandonéon, 
                    de la guitare et de la clarinette basse, donnent vie à 
                    des arrangements originaux de tangos, de milongas, de valses 
                    ainsi qu'à des compositions personnelles. 
                  Le nom du groupe référence à une ligne 
                    de métro parisienne qui traverse différents 
                    quartiers, des plus chics aux plus populaires. C’est 
                    aussi un hommage au lieu qui a vu la création des premières 
                    classes de bandonéon en Europe : le CNSM de Gennevilliers, 
                    ville terminus de la ligne 13. Ce n'est pas non plus sans 
                    corrélation que César Stroscio (cofondateur 
                    du Cuarteto Cedron puis du Trio Esquina), qui y enseigne le 
                    fueye (bandonéon), est leur invité de marque. 
                    Les rencontres avec le célèbre bandonéoniste 
                    sont d’autant plus précieuses pour Línea 
                    13 que celui-ci incarne une génération virtuose, 
                    porteuse d’un héritage fort, mais qui renouvelle 
                    en permanence cette culture en l’enrichissant de sa 
                    propre expérience. 
                  Línea 13 propose un spectacle concertant, mais qui 
                    contient toutes les racines mélodiques du tango, élargies 
                    d'une modernité aiguë, traduite par une interprétation 
                    touchante, une démarche sincère et une complicité 
                    débordante d'énergie. Le répertoire, 
                    alliant des thèmes du tango traditionnel et de tango 
                    nuevo (incarné par Astor Piazzolla et Eduardo Rovira), 
                    est un bon compromis pour faire découvrir l’univers 
                    du tango dans sa globalité. 
                  Le concert de Genève s’annonce exceptionnel 
                    puisque le public pourra assister en quelque sorte à 
                    la transmission et au partage du savoir. Il se rendra également 
                    compte que la relève est bel et bien assurée… 
                  
                     
                        | 
                       
                         Narciso Saúl 
                        Narciso Saúl : voix, guitare 
                          Federica Della Janna : violon 
                          Daniel Pacitti : bandonéon 
                          Beto Cutillo : percussions 
                        Extraits audio : 
                          Narciso Saúl  | 
                     
                   
                  Après un magnifique parcours au sein de la formation 
                    Siglotreinta, Narciso Saúl a décidé de 
                    se consacrer à son interprétation du répertoire 
                    argentin et à la diffusion de compositions personnelles. 
                    C’est à travers une production plus intimiste 
                    que le soliste a donc saisi l’opportunité de 
                    mieux faire connaître son travail de guitariste tanguero 
                    et sa manière d’appréhender les milongas 
                    chantées. 
                  Influencée par des créateurs comme Pedro Laurenz, 
                    Astor Piazzolla ou Anibal Troilo, la démarche de Narciso 
                    Saúl est en réalité très proche 
                    du jazz et de l’improvisation. Ainsi, tout en développant 
                    les limites harmoniques et mélodiques de sa musique, 
                    il a choisi de continuer à s’investir dans un 
                    genre qui n’a pas été créé 
                    uniquement pour danser. De même, passionné par 
                    les sources ethnologiques, historiques et sociales de l’héritage 
                    musical qu’il transmet, Narciso Saúl incarne 
                    une approche épurée mais solide et ouverte de 
                    son art. Cet esprit fascinant est palpable dans ses concerts. 
                  Depuis le début de sa carrière, Narciso Saúl 
                    a eu l’occasion de se produire à de nombreuses 
                    reprises en Europe. Mais c’est en collaborant plus récemment 
                    sur l’opéra Carmen de los Corrales – une 
                    libre adaptation de l’œuvre de Bizet – qu’il 
                    a rencontré en Italie les musiciens qui l’accompagneront 
                    en Suisse. 
                  Pour ce concert à l’Alhambra, Narciso Saúl 
                    sera entouré par le maître bandéoniste 
                    Daniel Pacitti, la violoniste virtuose Federica Della Janna 
                    et l’excellent percussionniste Beto Cutillo. C’est 
                    en leur compagnie qu’il interprétera des morceaux 
                    comme son succès « Boulevard San Jorge », 
                    inspiré de la célèbre artère genevoise, 
                    mais aussi des perles de Jorge Luis Borges & Astor Piazzolla 
                    et d’Atahualpa Yupanqui. Si ces titres reflètent 
                    souvent la mélancolie de promesses non tenues, ce ne 
                    sera assurément pas le cas de leur spectacle genevois… 
                  Album : El 
                    tango de Narciso (2005) / Site Internet : www.narcisosaul.com.ar 
                  Vendredi 11 mai, 18h30 
                  
                     
                        | 
                      Le siècle du 
                          tango 
                        Conférence par 
                          Norberto Gimelfarb 
                        Entrée libre 
                          
                           | 
                     
                   
                   
                    Une danse qu'on appelle tantôt milonga, tantôt 
                    tango, fait fureur dans le Buenos Aires d'autour de 1900. 
                    D'abord suite de figures et de pas de danse greffés 
                    sur les danses à la mode de la fin du XIXe siècle, 
                    elle se cristallise musicalement dans de brèves pièces 
                    adaptées à sa chorégraphie particulière. 
                    Vers 1910, le nom tango finit par avoir le dessus. Peu après, 
                    la danse et sa musique toute fraîche s'imposent, avec 
                    la France comme point de départ, en Europe. 
                  On constate, en Argentine, un premier mouvement de rejet 
                    du tango sur des bases surtout morales: ce serait une danse 
                    lascive et diabolique venue des bas-fonds et surtout des maisons 
                    de tolérance. Il y a une part de légende dans 
                    tout cela, mais il est vrai que le triomphe populaire du tango 
                    dans sa région d'origine, le bassin du Rio de la Plata, 
                    s'est fait au prix d'une simplification de sa chorégraphie 
                    et surtout d'une épuration de son côté 
                    sensuellement trop explicite. Un processus similaire accompagne 
                    la popularisation de certaines danses caribéennes ou 
                    brésiliennes. 
                  Les petits ensembles qui jouent le tango ont, d'abord, une 
                    instrumentation assez hétérogène, mais 
                    entre 1910 et 1920, ce sont le bandonéon, le violon, 
                    la flûte ou la clarinette, la guitare puis le piano 
                    et, enfin, la contrebasse qui s'imposent. A partir de 1920-1925 
                    les timbres se resserrent: bandonéon, violon, piano, 
                    contrebasse. Voilà les instruments canoniques des ensembles 
                    de tango. 
                  A partir de 1920, se développe le tango chanté. 
                    On chantait peu le tango auparavant, parce que le répertoire 
                    était assez limité et, pour le reste, on se 
                    bornait à mettre des paroles le plus souvent salaces 
                    sur les airs les plus connus. Il faut relever que, depuis 
                    1930, les diverses possibilités rythmiques du tango 
                    se sont canalisées dans une série de sous-genres: 
                    le tango proprement dit, la valse-tango, la milonga-tango, 
                    qui peuvent être instrumentaux ou chantés. 
                  A partir de 1955, le conservatisme du tango et de la plupart 
                    de ses interprètes est battu en brèche à 
                    la fois par les propositions d'un groupe d'avant-gardistes 
                    désireux de tout changer et par une perte de popularité 
                    auprès du public. Suivent de longues années 
                    de hauts et de bas, avant que, vers la fin du XXe siècle, 
                    toutes les formes du tango, les vieilles comme les nouvelles, 
                    ne retrouvent la faveur du public, non seulement rioplatéen 
                    mais international. 
                  Norberto Gimelfarb 
                  Vendredi 11 mai, 20h30 
                  
                     
                        
                       | 
                        Maria de la Paz & Eduardo Kohan 
                          Libertango 
                        Maria de la Paz: voix 
                          Eduardo Kohan : saxophone ténor 
                          Alain Ray : bandonéon 
                          Jean Ferrarini : piano 
                          Claude Currat : basse 
                          Julio D'Santiago : batterie 
                         
                          Extraits audio : 
                          Maria de la Paz et Libertango
  | 
                     
                   
                   
                    Formé d’instrumentistes issus de cultures différentes, 
                    Libertango est un orchestre exceptionnel qui joue avec finesse 
                    une musique aux racines profondes. La combinaison entre un 
                    sax ténor et un bandonéon est inédite. 
                    En ajoutant un subtil piano et une rythmique implacable, le 
                    collectif parvient à un rendu d’une grande force 
                    et d’une rare beauté. Ainsi, à partir 
                    d’œuvres d’Astor Piazzolla et de compositions 
                    originales d’Eduardo Kohan, la formation propose un 
                    voyage haut en couleurs. Son répertoire est en effet 
                    constitué de morceaux élaborés, laissant 
                    toutefois la part belle à l’inspiration des solistes. 
                    Cheminant du tango au jazz, ce groupe sait transmettre son 
                    authentique passion au public. 
                  Comme Eduardo Kohan, María de la Paz est originaire 
                    de Buenos Aires où elle se ressource régulièrement. 
                    En outre, la jeune et charismatique chanteuse y a réalisé 
                    plusieurs albums et s’est produite en compagnie du célèbre 
                    bandéoniste Julio Oscar Pane et de la fameuse Orquesta 
                    Nacional del Tango « Juan de Dios Filiberto ». 
                  C’est la première fois que María de la 
                    Paz et Eduardo Kohan Libertango réunissent leurs énergies 
                    et leurs sensibilités dans le cadre d’un projet 
                    commun. Avec bonheur; la voix sensuelle, chaude et puissante 
                    de María de la Paz a trouvé son alter-ego dans 
                    le groupe d’Eduardo Kohan. Et cette alliance féconde 
                    engendre un monde sonore où cohabitent la tendresse 
                    et la violence, l’ombre et la lumière, l’amour 
                    et la trahison, la vie et la mort. Tango acoustique, tango 
                    électrique, tango halluciné : l’improvisation 
                    au pouvoir, María de la Paz & Eduardo Kohan Libertango 
                    mènent le bal ! 
                  Les Ateliers d’ethnomusicologie ont décidé 
                    de parrainer cette magnifique création et de présenter 
                    en primeur ce qui fera bientôt l’objet d’un 
                    enregistrement discographique sans pareil.  
                  Samedi 12 mai, 17h30 
                  
                     
                        | 
                      12 Tangos – Return 
                          Ticket to Buenos Aires 
                         Film 
                          de Arne Birkenstock (Allemagne-Argentine)  
                        Documentaire 2005, 
                          90’ 
                          35 mm, v.o. espagnol / sous-titré anglais  | 
                     
                   
                  À « la Catedral » de Buenos Aires, une 
                    grange à blé vieille de 200 ans, les invités 
                    d’un bal hebdomadaire dansent sur la musique d'un orchestre 
                    composé d’anciennes vedettes de tango argentin. 
                    Le fil rouge du film suit Roberto Tonet, un danseur professionnel 
                    de 71 ans, et Marcela Maiola, une danseuse de 20 ans. Roberto 
                    a perdu ses économies pendant la crise bancaire ; quant 
                    à Marcela, elle prépare son émigration 
                    en Europe. 
                  La caméra accompagne également d'autres danseurs, 
                    non seulement dans la Catedral, mais aussi dans leurs vies 
                    quotidiennes. Par exemple Alfredo Carlino, poète d'agit-prop 
                    et philosophe de radio, qui a installé dans son salon 
                    une librairie spécialisée en textes de psychologie. 
                    Nous voyons aussi Rodrigo et Fabiana, deux écoliers 
                    vivant à Pompeya, le vieux quartier tango de Buenos 
                    Aires. Rodrigo est le fils d'immigrants boliviens. La mère 
                    de Fabiana est forcée de quitter l'Argentine pour l'Espagne, 
                    où elle travaille comme nettoyeuse pour payer l'hypothèque 
                    de leur modeste maison. Ainsi, la petite Fabiana, 11 ans, 
                    vit maintenant seule avec ses trois frères et soeurs. 
                  Dans le hall de tango le plus chaud de la ville, nous rencontrons 
                    aussi les membres du groupe de trash-rock « Las Muñecas 
                    », cinq personnages étranges qui vivent dans 
                    la Catedral, y organisent des bals de tango et interprètent 
                    des chansons de Gardel sur leurs guitares électriques. 
                  Le film relate l'histoire de ces danseurs et de leurs ancêtres 
                    dans 12 tangos, y compris les sentiments d'espoir déçu, 
                    la crise, l’immigration et l'émigration. Le passé, 
                    le présent et l'avenir de nos protagonistes reflètent 
                    aussi l'histoire du tango lui-même et donnent une impression 
                    précise de Buenos Aires aujourd’hui. 
                   
                  Samedi 12 mai, 20h30 
                  
                     
                        | 
                       
                         Marcelo Mercadante  
                          & Tango Express 
                        Vicenz Arranz, Laura 
                          López Osnorio : danse 
                          Elba Pico: chant 
                          Marcelo Mercadante : bandonéon 
                          Javier Feierstein : guitare 
                          Olvido Lanza : violon 
                          Gustavo Llull : piano 
                          Andrés Serafini : basse 
                        Extrait audio 
                          Marcelo Mercadante  | 
                     
                   
                  « Suburbios del Alma » 
                  Marcelo Mercadante a étudié le bandonéon 
                    à Buenos Aires avec Rodolfo Mederos et la composition 
                    avec Alejandro Civilotti. Il a ensuite perfectionné 
                    son apprentissage avec divers musiciens comme Daniel Binelli, 
                    Julio Pane, Néstor Marconi et le fameux Juan José 
                    Mosalini. Il aborde les grands maîtres du tango traditionnel 
                    comme Agustín Bardi (1884-1941), le premier à 
                    avoir fusionné les rythmes de la campagne aux tangos 
                    urbains, puis se frotte à des compositeurs plus récents 
                    comme Horacio Salgán, qui représente la dernière 
                    évolution de l’orquesta típica del tango, 
                    ou le grand Astor Piazzola. Le pas suivant a été 
                    de se mettre à la composition lui-même et d’imposer 
                    un tango résolument contemporain, confronté 
                    aux influences du jazz, du flamenco et de diverses musiques 
                    populaires. 
                  En 1992, après avoir participé l’Exposition 
                    universelle de Séville, il s’établit à 
                    Barcelone, où il travaille notamment avec la compagnie 
                    Tango 21. En 1994, il fonde le Trio Argentina de Tango, avec 
                    lequel il effectue de nombreuses tournées en Europe 
                    et en Afrique du Nord. Il travaille ensuite avec la chanteuse 
                    Amelita Baltar, ainsi que comme soliste dans des œuvres 
                    pour bandonéon et orchestre, notamment en 1999 sous 
                    la direction de Lalo Schifrin. Son parcours l’amène 
                    aussi à participer à des ensembles comme le 
                    Cuarteto Araca ou le Quinteto Sur, avant de former son propre 
                    groupe, le Quinteto Porteño.  
                  Intitulé Suburbios del Alma (« Banlieues de 
                    l’Âme »), le programme que nous accueillons 
                    présente une nouvelle formation constituée de 
                    certains des meilleurs tangueros actuels, dont, pour la première 
                    fois, les danseurs Vicenz Arranz et Laura López Osnorio, 
                    ainsi que Elba Pico, une des chanteuses les plus prometteuses 
                    de la jeune génération. 
                  Tisser des liens entre toutes les formes de tango inventées 
                    depuis cent ans ; voilà ce à quoi Marcelo Mercadante 
                    parvient sans difficulté apparente… Servie avec 
                    art et passion, sa musique possède en elle une palette 
                    impressionnante de colorations, de l’ambiance du salon 
                    feutré à celle du club branché, de l’esprit 
                    de la musique de rue aux sources africaines des percussions 
                    du candombé. C’est un tango contemporain mais 
                    ancré dans la tradition, un tango dont l’expression 
                    synthétise tout ce que son histoire a connu de meilleur. 
                  Samedi 12 et dimanche 13 mai 
                    
                  
                     
                       
                         | 
                      Stage 
                          de tango argentin 
                          avec Mariela Casabonne-Bach 
                          
                        Stage 1 : Samedi et dimanche 
                          : 11h30 à 13h30 - COMPLET 
                        Stage 2 : Samedi et dimanche 
                          : 14h30 à 16h30 - COMPLET 
                        Prix du stage : 70 frs 
                          / 60 frs membres ADEM 
                        Inscriptions : Remplir 
                          le talon d'inscription 
                          ou envoyer mail et effectuer le versement sur le CCP 
                          12-6003-0 - Ateliers d'ethnomusicologie. Seules les 
                          inscriptions réglées sont définitives. 
                        Renseignements : 022 
                          919 04 94 - Email : stages@adem.ch  | 
                     
                   
                  Venez vous initier à la grande tradition 
                    du tango argentin, cette danse de couple qui marie grâce, 
                    force, élégance et sensualité. 
                  C’est depuis sa plus tendre enfance 
                    que Mariela Casabonne Bach s’adonne à cet art, 
                    d’abord avec son père, puis en continuant sa 
                    formation professionnelle avec des danseurs de renommée 
                    internationale à Rosario et Buenos Aires. Mariela 
                    Casabonne Bach enseigne régulièrement le 
                    tango dans le cadre des Ateliers d'ethnomusicologie. 
                  Ce stage d’initiation vous permettra 
                    de découvrir les bases de la démarche, des déplacements 
                    ou de la conduite, mais surtout, le plaisir de danser ! Bien 
                    plus qu’une simple technique, c’est avant tout 
                    l’esprit du tango argentin que Mariela veut nous faire 
                    partager avec sensibilité et générosité. 
                  Concerts organisés 
                    avec le soutien du Département des affaires culturelles 
                    de la Ville de Genève, du Département de l'instruction 
                    publique de l'Etat de Genève et de la Direction du 
                    Développement et de la Coopération DDC.  
                   
                    
                    
                    
                   
                   |